Dibombari MBOCK est un conférencier, historien et auteur prolifique qui a développé une expertise sur l’Egypte antique et les hiéroglyphes.

Il est le concepteur d’une méthode de lecture innovante, révolutionnaire, des hiéroglyphes égyptiens : la “Méthode KUMA”.

La méthode KUMA consiste en la lecture analytique des hiéroglyphes à partir des langues africaines modernes.

Les ouvrages majeurs de Dibombari MBOCK

Disponibles sur lulu.com ou en vente lors de nos activités.

SIGIDOLO L’ETOILE DE LE CIRCONCISION

SIGIDOLO : L’Étoile de la Circoncision” a pour objet d’explorer les lieux de continuité des corpus philosophiques et religieux institués par les anciens Égyptiens et d’identifier la langue dans laquelle ces corpus ont été élaborés. Cet ouvrage présente les relations que ces mémoires entretiennent avec les peuples qui vivent actuellement au Soudan occidental.

Vers le milieu du 20e siècle, Lilias Homburger avait déjà entrevu la proximité que le copte, langue réputée être le stade final de l’ancien égyptien, entretenait avec les langues mandées. Depuis lors, plusieurs travaux conduits par des chercheurs Africains sont venus conforter ces faits de langue qui servent de socle au travail de reconstitution des principaux livres initiatiques de l’Égypte pharaonique. Cet ouvrage explore le rôle de Sirius dans la religion des anciens Égyptiens et le sens des principaux rites observés par les anciens Égyptiens jusqu’à la fin de leur histoire : Nouvel An, relèvement du pilier sacré d’Osiris, brique de naissance, circoncision, interdit alimentaire, jugement du défunt, enfantement, etc., sont autant de sujets abordés. On y redécouvre l’intangibilité des mythes sociogoniques qui maintiennent vive la mémoire de l’Antiquité africaine et le rôle qu’ils peuvent jouer dans les processus de reconstruction spirituels et matériels des peuples noirs.

LA MÉTHODE KUMA : Principes Généraux des lettres symboliques éthiopiennes.

Nouvelle publication maintenant disponible à la librairie Tamery (Paris). Prix: 20 Euros.

En 1822, la découvert de Jean-François Champollion relative à l’existence de l’élément phonétique dans le système d’écriture des anciens égyptiens met un terme aux réflexions sur les équivalences symboliques des hiéroglyphes présentées par Horapollon dans son traité intitulé Hiéroglyphica paru dans la deuxième moitié du Vième siècle, qui avait été exhumées durant les siècles par le jésuite Allemand Kircher et l’évêque Anglican Warburton. Depuis lors, des progrès significatifs ont été réalisés dans le domaine de la vocalisation des hiéroglyphes égyptiens. Avant Horapollon, il y avait eu Diodore de Sicile, qui appelle “lettres éthiopiennes” les caractères sacrés  de l’ancienne Egypte, et surtout Chérémon, dont il reste quelques fragments d’un traité sur les hiéroglyphes écrit vers 50 dans lequel il rappelle également que les hiéroglyphes sont des “lettres symboliques éthiopiennes”. Des trois auteurs cités, Chérémon a eu l’avantage  d’être un hiérogrammate, c’est-à-dire un scribe formé à la lecture des hiéroglyphes égyptiens. L’intérêt renouvelé que nous accordons à ces auteurs vient du fait que tous traitent des hiéroglyphes comme d’un corpus de signes symboliques. Diodore de Sicile dit explicitement que ce n’est pas la réunion des syllabes qui révèle l’intelligence des “lettres éthiopiennes”, mais la signifcaition méthaphorique attaché aux objets dessinés. Qu’entend-il par “métaphore” ? La réponse à cette question met en lumière une facette de l’écriture des ancines égyptiens qui n’a pas été investigués jusqu’ici.  

LE DIEU OSIRIS DANS LES LANGUES NEGRO-AFRICAINES – TOME I

Divinité majeure de l’Égypte antique ou roi mythique inspiré par le règne d’un roi historique, Osiris incarne pour ainsi dire à lui seul la civilisation égyptienne. Il fut, dès l’origine, lié à la fertilité, avec des caractères chthoniens fondés sur son identification à la terre en tant que lieu de sépulture. Un grand nombre de titres et d’épithètes attribués à Osiris reflètent cette nature double, à la fois mythique et historique, ainsi que son caractère funéraire qui semble être l’aspect principal de son identité. Inventeur de l’agriculture et des rites religieux, Osiris a connu un destin qui le place irrémédiablement au centre de la spiritualité des anciens Égyptiens. Aucun dieu, antique ou moderne, n’a été honoré comme Osiris a pu l’être à travers les siècles. Le récit de sa mort et de sa résurrection a donné naissance à la plupart des mythes qui racontent une Passion, celle d’un homme qui meurt, puis ressuscite à l’image du blé, de la vigne, et des cycles saisonniers.

LE DIEU OSIRIS DANS LES LANGUES NEGRO-AFRICAINES – TOME II

Divinité majeure de l’Égypte antique ou roi mythique inspiré par le règne d’un roi historique, Osiris incarne pour ainsi dire à lui seul la Civilisation égyptienne. Il fut, dès l’origine, lié à la fertilité, avec des caractères chtoniens fondés sur son identification à la terre en tant que lieu du sépulcre. Que signifie le nom “Osiris” ? Outre d’apporter une réponse à cette question, le présent ouvrage passe en revue les principaux thèmes associés à Osiris, un examen du dieu réalisé à la lumière des langues négro-africaines.

LE DIEU OSIRIS DANS LES LANGUES NEGRO-AFRICAINES – TOME III

Divinité majeure de l’Égypte antique ou roi mythique inspiré par le règne d’un roi historique, Osiris incarne pour ainsi dire à lui seul la Civilisation égyptienne. Il fut, dès l’origine, lié à la fertilité, avec des caractères chtoniens fondés sur son identification à la terre en tant que lieu du sépulcre. Que signifie le nom “Osiris” ? Outre d’apporter une réponse à cette question, le présent ouvrage passe en revue les principaux thèmes associés à Osiris, un examen du dieu réalisé à la lumière des langues négro-africaines.

LES HIEROGLYPHES ET LES LANGUES NEGRO-AFRICAINES

Ce manuel d’introduction à la lecture des hiéroglyphes à partir des langues négro-africaines aborde plusieurs aspects de la Civilisation égyptienne. Il s’adresse à toute personne qui souhaite approfondir sa connaissance du corpus philosophique et religieux des Anciens Égyptiens, et met en lumière les aspects de cette Civilisation qui subsistent actuellement au sein des peuples établis au Sud du Sahara. La langue copte mobilisée dans l’exercice d’appréciation des concepts égyptiens apparaît clairement comme une langue négro-africaine et l’homophonie semble avoir été la clé permettant d’accéder à la pensée symbolique du sujet Égyptien. Dibombari MBOCK ouvre un nouveau chapitre à la connaissance de la Civilisation des bords du Nil fondé sur une approche analytique des hiéroglyphes égyptiens.

LES HIEROGLYPHES EGYPTIENS

En considérant les hiéroglyphes, J.-F. Champollion a averti qu’il s’agit d’idéogrammes. Aujourd’hui, la plupart des chercheurs n’y voit que des lettres alphabétiques. Cette idée est au fondement des traductions que l’on rencontre dans les manuels d’égyptologie. Problème : Si l’idéogramme renvoie à un mot ou une idée, le considérer suppose de connaître le nom que porte l’objet décrit dans la langue du dessinateur. Cette conclusion est tout à fait naturelle si l’on reconnaît que le sens de cet idéogramme est directement associé au nom que porte l’objet dessiné. Le génie égyptien est d’avoir su, à travers un système d’écriture allégorique, rendre compte des langues de tous les peuples qui vivent actuellement au Sud du Sahara. Cet ouvrage est la pierre fondatrice d’une nouvelle manière de concevoir les caractères sacrés. Quiconque souhaite en saisir la substance peut y trouver les outils qui permettent d’approcher les Humanités Fondamentales à partir du paradigme qui les soutiennent: La Pensée Éthiopienne.

LE DIEU NOIR

Le Dieu Noir passe en revue les grands sujets d’Histoire qui intéresse le peuple Noir. Il s’inscrit bien modestement en droite ligne des travaux de vulgarisation entrepris par les historiens Africains du 20e siècle.

KONGO

L’ouvrage que voici marque assurément un tournant décisif dans l’effort entrepris par les Africains de bonne foi de réhabiliter l’Histoire du Continent noir. Nous y découvrons que la notion de Dieu est une notion traditionnelle et intellectuelle africaine, les origines africaines des dieux de l’Olympe, les noms africains des dieux d’Égypte, les origines africaines du Judaïsme, du Christianisme et de l’Islam, les sources africaines de la démocratie parlementaire et du Droit, les sources vivifiantes de cette extraordinaire épopée qui conduira à l’émergence de la civilisation appelée égyptienne, le sens de l’iconographie des principales divinités de la vallée du Nil, les sources africaines de la franc-maçonnerie, les sources de la légende du Saint-Graal, l’objet de la circoncision, l’origine et la fonction des cathédrales, la fonction du sarcophage, les origines de la chimie et de la biologie, et les fondations africaines de Rome sont autant de sujets spécifiquement abordés.

LA SORCELLERIE EN ÉGYPTE ANTIQUE

Toute la pensée symbolique d’un peuple est déterminée par les mots qu’il prononce. En Égypte antique, cette pensée symbolique a été immortalisée par un système d’écriture idéographique auquel les Grecs ont donné le nom d’hiéroglyphes. Dans cet ouvrage, Dibombari Mbock aborde un aspect moins connu: la conjuration de la maladie, de la malédiction, de la mort, et du mauvais sort en Égypte antique. Comment l’Égypte antique conçoit-elle les notions de vie éternelle, de malédiction et de bénédiction ? Toute civilisation digne de ce nom apporte des réponses, souvent ésotériques, à ces lieux communs, et cela est particulièrement vrai pour les sociétés africaines. Prenant comme témoins les Mystères d’Osiris au mois de Khoiak, cet ouvrage nous plonge dans l’univers méconnu des objets-forts malencontreusement appelés “fétiches”, et de leur usage dans le contexte égyptien. Dibombari Mbock propose une vision originale de la religion égyptienne qui met en relief le caractère typiquement africain de ses us et coutumes.